
“Un blanc, un noir.” C’est ce que Justine et moi avons dit de concert ce matin, en prenant le café au bord d’un bolong du Saloum, en observant, enchantés, les deux aigrettes (petits hérons) qui passaient devant nous. Comme pour tirer définitivement le voile de l’aube et laisser s’ouvrir la journée. Une noire et une blanche, qui se suivaient…
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Bonjour,
Je voulais juste vous apporter un élément de plus, suite à votre article.
Aujourd’hui, pour la seconde année, et donc pour l’année scolaire 2017-2018, dans cette école de Yayeme, il y a une quinzaine de parrainage pour les enfants.
c’est justement Marthe qui détermine les familles qui ont le plus besoin d’aide.