16 au 20/08 – Hopineo met Cap à l’est ! ah non, au nord

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Après l’Aude et son Cammas Blanc, éco-lieu en devenir, force est d’avouer que nous sommes un peu déroutés. On le savait : parfois, certains choix seraient difficiles. Ne pas regarder de trop près l’offre de Jean-François est l’un de ceux-là. S’impliquer pendant 1 ou 2 ans dans le développement d’un éco-lieu en pleine nature, ou dans une ancienne station thermale… ça nous fait rêver ! D’autant que ce rêve nous habite depuis plusieurs mois déjà. C’est l’une des options que l’on se réserve pour la suite… Mais là, la proposition a vraisemblablement quelques années d’avance. Qu’à cela ne tienne, nous avons en tête quelques amis que cela pourrait intéresser.

Pour l’instant, de notre côté, nous avons trop envie de continuer la route.

Premiers bouchons d’autostoppeurs.

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Samedi 16 août, 17h30 : nous montons dans la berline de Jean-François direction Narbonne. Notre nouvel ami choisit se rallonger de quelques kilomètres pour nous déposer au péage. Après quelques longues minutes d’embouteillage, c’en est un d’un autre genre qui s’offre à nous : 2 jeunes filles, puis 2 jeunes hommes, sont armés de leur panneau indicatif de leur direction au péage…
Nous sommes arrivés les premiers, mais nous laissons les deux filles prendre la première voiture qui s’arrête. Comme quoi l’adage « trop bon trop con » ne s’applique pas systématiquement !

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C’est Jean-Christophe le deuxième conducteur qui ne résiste pas à notre bonne humeur, fait de la place dans son carrosse et nous embarque. De retour d’Andorre, pour la visite, il va au delà de Montpellier (notre destination du jour), à Lunel. Soudeur chez Iris Bus, il nous apprend tout de l’industrie du bus, de ses quelques délocalisations en République Tchèque, de l’excellence française en la matière, des dernières innovations en matière de combustible et de la mainmise des italiens IVECO sur le marché. Bref, super intéressant.

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Mais le plus marquant durant cette petite heure passée ensemble, c’est la joie de vivre, le sourire, la simplicité qui se dégagent de l’être humain. Indescriptible à l’écrit, disons simplement qu’en descendant de la voiture, nous avions une pêche phénoménale et le sourire jusqu’aux oreilles.

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Bonne humeur du jour qui touche son apogée quand nous apercevons Riitta, notre chère tante, qui vient nous chercher sur le parking de cette chaîne de fast food bien connue dans laquelle

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nous n’avons pas mis le moindre pied depuis le départ (c’est l’un de nos petits défis, avec la privation de Coca…) – ce qui n’est pas un défi très difficile, on vous l’accorde.

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Rattrapages pour un tourisme responsable.

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Les 3 jours à Montpellier, en famille, sont l’occasion de rattraper le retard accumulé sur les restitutions Hopineo. Mise à jour du site, réalisation d’une nouvelle vidéo…

C’est également l’occasion de passer du bon temps, tout simplement. Chez Riitta et Fulvio, c’est un de nos petits havres de paix où nous aimons passer le temps ; un incontournable sur ce tour de France.

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Même si nous ne sommes pas dans le cœur métier d’Hopineo, ces instants sont nécessaires.Mais nous ne sommes jamais loin de notre objet ! À coup de Facebook, Hopineo nous rattrape avec bonheur et nous conduit, grâce à une amie de Justine, à une trentaine de kilomètres de l’agglomération, à l’Etrier des Cabanelles, écuries éthologiques et écologiques.

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Anne, Philippe, leurs écuries et l’esprit qui y règnent sont une oeuvre d’art ! Un coup de foudre pour les cavaliers que nous sommes.

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Les propriétaires nous ouvrent les portes de l’éthologie, dont nous étions tous deux étrangers. Faire du cheval un partenaire, construire avec lui un projet commun, en essayant de se rapprocher au maximum de son langage. Une révolution dans le milieu de l’équitation ; et un écho très fort aux Éco-Logis d’Ensarnaut, que nous avons visités dans le Gers.

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Au delà de la démarche éthologique, Anne et Philippe sont pionniers en matière d’énergies renouvelables et aspirent à créer au sein de leur domaine des hébergements touristiques…

Nous ne sommes pas sans nous revoir…

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Et c’est reparti !

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20 août, 8h du matin, tonton Fulvio nous dépose à la sortie de Montpellier. Nous partons à Uchaud, en direction de Nîmes, pour visiter Le Clos des Capitelles, avant de plonger plein nord pour traverser la quasi-intégralité des Cévennes.

La matinée se déroule parfaitement, alternant quelques kilomètres à pied, conducteurs diverses et interview de Mme. Rigaud, au Clos des Capitelles. Nous déjeunons à Ales, ancienne terre minière riche de contrastes avant d’entamer la partie dure de la journée : les Cévennes !

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On nous avait prévenu, mais nous avions la foi !

On enchaîne trois voitures pour parcourir les 10 premiers kilomètres… déjà, ça fait beaucoup ! Nos derniers hôtes de route sont, grand luxe, un camping car + une voiture. Un dans chaque véhicule ! Ambiance de vacances, sur fond de drapeau tibétain pour décorer le camion. Ils nous laissent au milieu de la forêt, à un croisement.

[/one_half_last] [box type= »note » ]Attente, exercices, blagues, attente, pluie, attente, grosse pluie… 1h40, 5 voitures passent, dont seulement 2 potentiels hôtes, qui ne s’arrêtent pas. C’est la 6ème qui est la bonne. À Chamborigaud, nous avons parcouru 28km… en 4h ! Drôle.
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C’est le TER local qui nous mène à Villefort, dans le Nord des Cévennes, où Bernard, notre hôte des prochains jours, nous récupère. Merci à la SNCF pour sa contribution au Tour de France Hopineo ! (gare fermée, pas de contrôleur ; pas moyen de payer ou de dérouler notre présentation pour se voir offrir les billets…).

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Pour la suite, on vous reparlera très vite de La Butinerie, où nous planchons actuellement sur la récupération d’eau et la commercialisation à l’étranger. On reparlera surtout de notre nid d’ici, une grande première pour nous : un tipi, dans le pré avec les ânes et les chevaux de passage ! TROP-BIEN !! 🙂

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