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De la Vendée à la Dordogne, les kilomètres défilent. Nous sommes en approche de notre premier « long » séjour : 2 semaines au Domaine de la Rhonie, chez Marie-Rose et Serge, que nous connaissons bien. L’excitation grandit. Mais avant d’arriver à destination, le destin (ou assimilé) nous réserve encore quelques belles surprises…

Bordeaux – 19h d’arrêt.

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19h, c’est court, très court. Emilie et Thierry nous déposent au centre-ville ; Mme Véronique Daudin nous fait visiter l’Ecolodge des Chartrons (superbe maison au coeur de la ville renovée et isolée en mode écologique) ; nous découvrons la « Maison EcoCitoyenne » sur les quais, croisons Alix, le cousin de Mahery, puis direction chez Laura et David qui nous hébergent ce soir là.

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C’est donc un brin frustrés que nous quittons la capitale d’Aquitaine le lendemain direction la Dordogne. Nous avions 2 visites de structure au programme, mais c’était sans compter un nouveau record de notre Tour de France en stop…

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Un record qu’on aurait préféré éviter.

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9h30. Laura nous dépose à l’un des nombreux rond-points qui mènent à la rocade puis à l’autoroute direction Périgueux.

Depuis le début de ce voyage, nous l’avons noté quasi systématiquement (sauf à Nantes, belle ville ;-), faire du stop dans ou autour des grandes villes, ça fonctionne moins bien ! Bordeaux ne fera pas exception : autant de voitures qui passent (effectivement Laura, c’est sûrement l’un des rond-points les plus passants de cette ville), dont un certain nombre sans passager, et aucune qui s’arrête ! Nous avons la chance d’être à la sortie des MIN de Bordeaux ;

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nous nous y essayons donc en proposant tout sourire aux nombreux transporteurs qui sortent de nous pousser un peu. Échec ! Il doit faire 30° ; facile !! C’est finalement Christophe, entrepreneur dans le bâtiment, avec sa camionnette (de toute façon c’est souvent les camionnettes qui nous prennent…), qui met un terme à la plus longue attente que nous ayons vécu depuis le début du Tour de France. Il est 11h45, cela fait 2h15 qu’on attend. Ce n’est rien en comparaison des 20 ou 22h de Ludovic Hubler en Mongolie (ou au Canada, on ne sait plus), mais au niveau du ratio véhicules vus / véhicules qui s’arrêtent, on doit pas être mal !

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Allez, direction la Dordogne !

[box type= »note » ]Julia et son mari, vignerons sur le terroir de Pomerol, nous prennent à l’arrière de leur pick-up, assis sur les cartons de vins ; José, étudiant ; Aurélien, prof de maths pour Acadomia et potentiel futur Hopinoer ; Stéphanie, DJ internationale habitant au coeur du Périgord Vert (!!), avec qui nous avons rdv à Paris pour une « special night » ; Manu, ancien gérant de chambres d’hôtes, qui nous apprend tout de la « gué-guerre » entre Périgords ; Aurélie, future avocate qui connaît nos futurs hôtes et nous mène tout droit à eux… Ce 25 juillet aura été une journée riche en rencontres.[/box]

Monsieur l’ambassadeur…

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Brive-la-Gaillarde. 11h30. Nous avons dormi la veille au Moulin de la Jarousse sous une yourte (top !), dans le Périgord Vert, à 70km de là. Pour la deuxième journée consécutive, nous avions été un tantinet ambitieux sur les trajets et nous devons à nouveau annuler notre visite à l’Hêtre sous le Charme. Dommage !

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Nous nous dirigeons maintenant avec hâte vers l’une de nos étapes phares : le Domaine de la Rhonie.

Levée de pouce pour rejoindre le centre-ville. [/one_half_last] [box type= »note » ]Le couple au volant d’une Golf vert pomme nous fait signe – comme beaucoup – qu’ils ne vont pas loin. Comme on peut, on leur fait signe que pas loin, c’est déjà bien ! Ils font demi-tour, nous prennent, font mine de nous déposer puis décident de faire un peu de place dans le coffre et, après avoir récupéré leur fille Charlotte, nous emmènent à Turenne, leur lieu de villégiature.[/box] [one_half]

Ce n’est pas tout à fait notre route mais qu’à cela ne tienne, le contact avec Christine et Patrick est excellent. Elle est canadienne, lui est luxembourgeois ; ils habitent Londres… Au final nous sommes invités à déjeuner chez eux (c’est la maison tout en haut du village, juste sous le château, achetée sur le boncoin.fr 4 mois plus tôt. C’est leurs premières vacances ici et nous faisons griller les saucisses dans un pot de terre, au bord de la piscine ; vue éblouissante du haut de ce piton rocheux.

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L’un des plus beaux villages de France. Échanges nourris, échanges fertiles, tutoiement, rires ; perspectives partagées sur le monde.

À la fin du repas, nous sortons la carte pour voir dans quelle direction s’orienter pour rejoindre notre destination. C’est Souillac, 30km ; puis ce sera Sarlat, 40km de plus, et enfin Meyrals, coeur du Périgord Noir, pour les douze derniers kilomètres.

[/one_half_last] [box type= »note » ]Patrick à sa femme Christine : « On avait dit qu’on irait visiter Souillac ? C’est l’occasion non ? ». La Golf est troquée pour leur 4×4 BMW plaque diplomatique. L’ambassadeur du Luxembourg en Grande-Bretagne et toute sa famille (cette fois, le chien est aussi du voyage) nous déposent donc à Souillac dans la joie et la bonne humeur. Nous nous quittons après la petite interview Hopineo et la promesse de nous revoir, ici, là-bas ou ailleurs…[/box]

Le hasard fait bien les choses, non ?

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Nos nouveaux amis luxembourgeois ne sont pas la dernière joyeuse surprise de la journée. Notre prochain conducteur est un hollandais perdu dans Souillac, à la recherche du Leclerc. C’est parce qu’il nous a pris et que nous prenons la direction de Sarlat que nous tombons… sur le supermarché !

Ophélie « boucle d’or » est une étudiante solaire en techniques de massage, au volant d’un break aménagé en chambre à coucher. Elle hésitait à faire du stop pour aller se rendre à Sarlat céder une partie de sa garde-robe à Emmaüs – elle fait le ménage et prend un nouveau départ.

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« Je savais qu’il y avait une bonne raison pour prendre la voiture ; c’était de vous rencontrer ». Justine devant, Mahery allongé sur le matelas à l’arrière, nous convenons de nous retrouver en septembre dans sa colloc’ à Romans s/ Ysère, où elle vit avec une dizaine d’étudiants en BTS Nature et Environnement.

Raphaël travaille pour la réserve de biodiversité Natura 2000, dont le Domaine de la Rhonie, notre destination, fait partie.

[/one_half_last] [box type= »note » ]C’est en fin d’après-midi qu’il nous dépose chez Marie-Rose et Serge, où nous sommes accueillis avec sourires et émotion. Nous étions venus en avril et avions eu un très chouette avant-goût de ces deux semaines à venir.[/box] [one_half]

Cela fait maintenant 10 jours que nous sommes arrivés et ce séjour ici est au delà de nos espérances. Plus que des amis, les exploitants de ce domaine conduit en agri-tourisme nous comblent d’apprentissages, d’émotions partagées et de surprises. Le rythme ici est intense tant les événements se succèdent ;

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mais ça fait un bien fou de se poser deux semaines, surtout dans ces conditions. Nous rattrapons notre retard au niveau des restitutions sur le site et travaillons sur des problématiques de taille… que nous vous révèlerons sous peu !

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Le bonheur est en Périgord – Noir ! 😉

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